Dopamine et alimentation : pourquoi tu grignotes sous stress?

Et si on prenait soin de soi de façon naturelle?

Un clic, un partage, une graine plantée 🌱

Tu rentres du boulot, lessivé.e. Tu avais promis de ne pas craquer… et pourtant tu te retrouves à finir le paquet de biscuits devant la télé. Encore.
Tu te demandes pourquoi tu fais ça, pourquoi tu n’arrives pas à t’en empêcher, alors que tu sais que ce n’est pas bon pour toi.
Et si ton cerveau n’avait jamais appris une autre façon de faire ?

Comprendre le lien entre dopamine et alimentation, c’est une vraie clé pour sortir de ce cycle sans t’en vouloir, et surtout : sans avoir à te battre contre toi-même.

Nos comportements alimentaires, notamment les envies de sucré, sont souvent liés à une recherche de dopamine, pour compenser un stress ou un manque de bien-être.

La dopamine : messagère du plaisir et de la motivation.

La dopamine, ce n’est pas “l’hormone du bonheur” comme on l’entend souvent. C’est un neurotransmetteur : une molécule qui permet aux neurones de communiquer entre eux.
Elle est surtout impliquée dans le système de récompense. Concrètement, elle te pousse à répéter une action qui te fait du bien.

Manger un aliment sucré, par exemple, déclenche une libération de dopamine dans le cerveau, notamment dans une zone appelée le noyau accumbens. Résultat : tu ressens un soulagement, un mini shoot de plaisir. Ton cerveau apprend alors que “manger = mieux-être immédiat”.

Plus tu répètes ce schéma, plus ton cerveau le retient. Et c’est ainsi que se tisse, sans que tu t’en rendes compte, un lien entre stress, dopamine et alimentation.

Stress + dopamine = cocktail explosif!

Quand tu es stressé.e, ton corps entre en mode survie. Le cortisol augmente, ta vigilance aussi. Mais ton cerveau, lui, cherche une issue rapide pour retrouver un semblant de sécurité.
Il va donc te pousser vers des comportements qui ont déjà fonctionné par le passé : manger, fumer, scroller sans fin… Tout ce qui apporte une récompense rapide.

Et devine qui intervient à ce moment-là ? La dopamine. Elle te motivera à te lever du canapé pour aller chercher ce carré de chocolat, ou même à te faire livrer un dessert alors que tu n’as pas faim.

Ce n’est pas un manque de volonté : c’est un système de survie très bien huilé, qui ne fait que son job.

L’alimentation ultra-transformée dope ta dopamine.

Autre souci : les aliments industriels sont conçus pour stimuler ton cerveau au maximum.
Ils contiennent le bon combo gras-sucré-salé qui suractive le système de récompense.
Résultat : plus tu y touches, plus tu en veux.

Et contrairement aux aliments bruts, ces produits provoquent des pics de dopamine très intenses mais de courte durée. Tu es vite redescendu.e… et ton cerveau en redemande.

On parle ici d’un conditionnement neurologique, pas d’un caprice. Le lien entre dopamine et alimentation est donc amplifié par ce type de nourriture.

Nos envies et addictions sont souvent liées à des déséquilibres dans les neurotransmetteurs, en particulier la dopamine, qui régule nos circuits de récompense et de plaisir.

Glycémie et montagnes russes émotionnelles.

Quand tu grignotes, tu fais aussi varier ta glycémie (le taux de sucre dans le sang). Un pic → une chute → une fringale → un autre pic…
Ces variations créent des sensations d’instabilité intérieure : irritabilité, fatigue, baisse de concentration. Et ton cerveau veut une solution rapide : encore un aliment sucré.

C’est un cercle vicieux, et la dopamine continue d’alimenter ce mécanisme.
Tu vois maintenant que ce n’est pas une question de “contrôle”, mais une question d’équilibre neurochimique.

Alors, comment sortir de ce schéma sans se priver ?

La solution n’est pas de supprimer le chocolat ou le fromage, ni de bannir les desserts. Ce serait d’ailleurs contre-productif.
L’idée, c’est de rééduquer ton cerveau, tout en prenant soin de ton corps.

1. Stabiliser ta glycémie

C’est la base. En régulant ta glycémie avec des repas complets, tu évites les coups de mou et les fringales soudaines. Un repas riche en fibres, protéines et bons lipides permet de lisser la courbe glycémique et donc… de réduire les pics de dopamine.

2. Reconnecter au plaisir… autrement

Ton cerveau a besoin de récompenses. Plutôt que de lui enlever ce qu’il aime, propose-lui autre chose : une balade, un appel à une amie, quelques étirements, un bon livre, une douche chaude.

Ce n’est pas immédiat ? C’est normal. Mais plus tu proposes des alternatives, plus ton cerveau apprend à libérer de la dopamine sans passer par l’alimentation.

3. Identifier les déclencheurs émotionnels

Beaucoup de grignotages ne sont pas liés à la faim, mais à un besoin émotionnel : se rassurer, se réconforter, combler un vide.
Mettre des mots là-dessus, c’est déjà une étape puissante pour te désidentifier du comportement.

Et la naturopathie dans tout ça ?

La naturopathie t’aide à retrouver un terrain stable, à la fois sur le plan physique (glycémie, microbiote, système nerveux) et émotionnel.
On travaille ensemble pour apaiser les compulsions, réguler les envies, redonner de la place à l’écoute du corps… sans frustration ni plan rigide.

Dans mes accompagnements, on ne parle pas seulement de nutrition. On parle aussi de ton rythme, de ton histoire, de ton énergie. Parce que tout ça, ton cerveau le capte. Et c’est en travaillant sur tous ces plans que tu peux te libérer durablement du grignotage émotionnel.

Tu veux te libérer de cette relation compliquée à la nourriture ?

Si tu as l’impression de tourner en rond, de savoir quoi faire mais de ne pas y arriver seul.e… c’est que tu n’as pas besoin de plus de volonté, mais d’un cadre bienveillant et adapté à toi.

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Ton cerveau peut apprendre autre chose. Et moi je suis là pour t’y aider 💛

💌 Tu préfères m’écrire ici ?

Pas besoin d’avoir tout compris ou d’avoir déjà commencé pour me contacter. Si tu te sens dans un flou, en perte d’équilibre ou bloqué.e dans une habitude qui ne te ressemble pas… Tu es au bon endroit.
On avancera ensemble, à ton rythme.


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